Sergent de la Garde Ralof de Stangarde

J'ai commencé un peu le roleplay plus sérieusement, et j'ai décidé de m'installer à Stangarde. C'est une superbe ville, au background intéressant, et j'ai vu assez souvent du roleplay s'y passer. Donc, je ressent la nécessité de réécrire l'histoire de Ralof.

''Ralof est né à Faldham, à la bordure des Norcrofts, dans le Rohan. Ses parents possédaient une ferme de légumes et de houblon, prospère, et c'est avec les travaux de la terre que le Rohirrim débuta son enfance. L'aîné de la famille, ayant 3 soeurs, il prit donc sur lui d'être un modèle. Accompagnant souvent ses parents lors des visites des marchés des villes voisines, soit Hytbold et Neigebronne, il prit rapidement goût aux voyages et surtout, devint un excellent cavalier.

Ralof se maria tôt, à 16 ans, et eu son premier enfant, une fille, à 17 ans. Il habitait alors sa propre ferme, près d'Eaworth, où les terres étaient les plus fécondes. Le second enfant suivit rapidement, dès qu'il eut 20 ans, fille aussi, et vivait ainsi heureux, de sa ferme, travaillant dur pour sa famille.

Mais dès lors, les incursions d'orques sur les terres du Rohan devenaient de plus en plus fréquentes, et la crainte commençait à voire de plus en plus de gens se diriger vers le Sud et s'approcher d'Edoras, la capitale. Par souci de protéger sa famille, Ralof fit de même. S'installant en bordure de la cité, il put, de la vente de son ancien domaine, acheter un terre médiocre.

Temps durs pour la famille. Ralof dut se mettre aussi à un autre boulot, et devint aide tenancier dans l'une des tavernes des faubourgs d'Edoras. Il mena un train de vie fatiguant comme ça pendant plusieurs années, se levant tôt pour travailler à la ferme, puis bossant dur à la cuisine de la taverne.

Depuis un moment, le magicien blanc d'Isengard manigançait une truc pas net. Des feux commençaient à se voir du bas de la tour, on parlait de destruction de Fangorn. Les fermes les plus près étaient la cible de pillards orques et barbares du Pays de Dun. À Edoras, c'était le bordel. La pauvreté et la malnutrition commençait à être un fléau, et le roi n'était plus visible. Et alors, quand on pouvait avoir audience, on remarquait qu'il avait vieilli physiquement d'au moins 20 ans, et qu'il était accompagné d'un sinistre petit personnage du nom de Grima.

Un soir (Ralof a alors 29 ans), notre héros conversait avec clients habitués de la taverne. Une bière de trop et hop, il glissa dans la conversation des propos anti-Théoden, qui lui valurent rapidement des gros ennuis. Des hommes de Grima étaient attablés non loin. Rapidement, dans l'espace d'une heure, Ralof fut saisi par la garde et traîné devant le Roi.

Mascarade de procès. Le roi, muet, laissait Grima mener la danse. Ralof fut donc mis devant un choix. La mort, l'exil, ou Stangarde. Dans tous les cas, cela revenait au même. Seulement, Ralof aimait le Rohan. Il savait que la vie d'exil n'était pas pour sa famille, mais il n'y avait qu'une seule façon de les protéger. Il choisit Stangarde. Cette ville était le lieux parfait pour les parjures et les criminels ayant encore assez de couille et de patriotisme pour pouvoir résider.

Il fut donc livrer au Seigneur de la ville en bordure du grand fleuve, et fut rapidement enrôlé dans la garde. Stangarde, c'est le rempart entre les Hommes de l'Est et les Elfes de la Lorien contre le Rohan. Au fond, Ralof en tira une certaine fierté. À Stangarde, même les gardes sont artisans, cuisiniers, travailleurs. Bref, avec ses connaissance dans le métier de la ferme, il se fit rapidement une belle réputation.

Les années de maniement de la houe furent récupérée en maniement de la lance, et il se débrouillait pas mal avec un bouclier et une hache. Après 2 ans de service, il monta en grade, devenant l'un des Sergents de la Garde de Stangarde. Âgé de 31 ans, c'est ici que l'on retrouve Ralof, entre les visites à la taverne, le repos à sa maison, ou encore durant des patrouilles.''

Et voilà. Si y'a des gens qui veulent faire du roleplay, je resterai souvent à Stangarde. Sérieux je commence à y prendre plaisir, et je suis moins chiant que Belerod